Max Verstappen a troublé la salle de presse. En effet, le pilote hollandais a été pénalisé lors de sa dernière intervention avec la FIA. Il a donné des noms d’oiseaux pour décrire sa monoplace. A la suite de cette déconvenue, Verstappen a été condamné à réaliser des travaux d'intérêt général. 

Aujourd’hui, en deuxième position sur la grille, il est présent en conférence de presse. Et là, c'est le conférence drama. 

Lorsque l’animateur demande à Verstappen si des changements ont été opérés sur sa monoplace durant la nuit, le pilote Red Bull a répondu : « Beaucoup ». Le journaliste a souhaité avoir plus de détails. Mais il est attaqué en arguant : « Je pourrais être condamné à une amende ou obtenir un jour de travail en plus ».

A plusieurs reprises, les journalistes ont tenté de l’interroger. A chaque fois, il répond succinctement par un ou deux mots.

Un autre journaliste lui a demandé comment il pouvait tirer parti du meilleur de sa voiture. Verstappen a répondu, « Je préférerais vous répondre en dehors de cette pièce. Ce n’est pas contre vous, ne vous inquiétez pas. »

Si le pilote Red Bull n’était pas très causant, il assure, « je réponds aux questions, juste un peu. Un problème avec ma voix… », juge-t-il.

Norris et Hamilton l'ont soutenu à leur manière. Un journaliste leur a demandé s'ils jugeaient la pénalité méritée, Norris a répondu "oui" en rigolant, car Verstappen est son ami. Hamilton quant à lui trouve cette situation ridicule. 

La FIA ne peut pas contrôler les paroles des pilotes lors de la conférence de presse retransmise en direct dans plusieurs pays du monde. Il avait été demandé aux pilotes, quelques jours auparavant de contrôler leurs propos.